Tu ne l’as peut-être pas remarqué, mais le vrai point fort de Kite AI, ce n’est pas de jouer en solo, c’est la façon dont il s’intègre dans tout le réseau d’infrastructure Web3. Les collaborations avec la couche données et les protocoles cross-chain, ce n’est pas du flan — c’est une vraie intégration au niveau du code. Parti des sous-réseaux Avalanche, il s’est déjà infiltré sur plusieurs blockchains.

Prenons Brevis, ce spécialiste des preuves à divulgation nulle de connaissance (zero-knowledge proof). Récemment, ils ont fait une intégration très technique avec Kite AI : ils ont ajouté une “couche de calcul vérifiable” pour les agents IA. Ça sonne technique ? En fait, ça répond à un problème concret : dans l’économie des agents, comment fais-tu confiance à une décision prise par une IA ? Les paroles ne suffisent pas, il faut des preuves ZK pour vérifier le processus de calcul, et garantir que personne ne triche.

Un exemple : imagine un agent qui exécute une stratégie de trading en temps réel — avec les outils de Brevis, il peut générer une preuve à divulgation nulle pour démontrer à tous que “mon calcul est propre et transparent”. Ce procédé améliore non seulement la sécurité, mais permet aussi à la couche de paiement de Kite AI de supporter des opérations à haute fréquence — pense aux combats de millisecondes entre machines pour des encarts publicitaires ou des échanges de données.

Regarde aussi Pi Squared, ce réseau de paiement spécialisé dans le règlement instantané. Une fois associé avec Kite AI, il comble la faiblesse du “comment les agents gagnent de l’argent”. Pi Squared gère les paiements en quelques secondes, Kite AI fournit l’authentification et le cadre de gouvernance, et ensemble ils bouclent la boucle “gain – règlement – preuve”.

J’ai déjà vu leur démo commune : un agent IA qui optimise automatiquement le rendement dans un pool de liquidité DeFi, et au moment du règlement, il appelle directement K