J'ai remarqué un phénomène intéressant en surveillant le marché aujourd'hui : le gros vendeur à découvert sur ZEC sur Hyperliquid est de retour.

Cette fois, il a directement injecté 1,72 million de dollars pour renforcer sa position vendeuse. Mais voici le problème : son profit latent est passé de 3,3 millions à seulement 300 000 dollars. Il est évident que la reprise de ZEC a été plus forte que prévu, la pression sur les vendeurs à découvert est manifeste.

Pourtant, ce gars-là n’a pas capitulé ni clôturé sa position. Au contraire, il continue de shorter, faisant baisser son prix moyen à 41,2 dollars. Que signifie ce genre d’opération ? Soit il est extrêmement baissier sur les perspectives à venir, soit il est tellement pris au piège qu’il ne peut plus faire marche arrière.

D’un point de vue technique, le graphique 1h de ZEC est effectivement dans un canal baissier, mais les lignes rapide et lente du MACD montrent un croisement haussier sous l’axe zéro — ce qui signifie généralement qu’un rebond technique à court terme est probable.

Mon avis :
Il pourrait y avoir une hausse ce soir, mais ne vous précipitez pas pour poursuivre la tendance. Il y a de fortes chances que le rebond n’atteigne pas 548, et même 422 pourrait constituer une résistance. Ensuite, il est très probable que le cours reparte à la baisse, car le gros vendeur a besoin de se repositionner à un niveau relativement élevé pour maximiser son bénéfice lors de la prochaine chute.

Si vous avez initié une position longue autour de 360 et que vous êtes coincé, pas de panique. Voici deux options à considérer :

1. Si le prix rebondit vers 422, envisagez de réduire la moitié de votre position pour abaisser votre coût moyen.
2. Si le prix continue d’augmenter mais que le volume diminue, c’est un signal classique de piège à acheteurs — sortez sans hésiter.

Retenez ceci : être coincé n’est pas une fin en soi, c’est une opportunité de revoir votre logique de trading. Le marché offrira toujours une nouvelle opportunité d’entrée, mais une fois le capital perdu, c’est vraiment perdu.